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Qu'est-ce que la luminescence?



La physique moderne attribue à la lumière une double nature : Une nature ondulaire et une nature de particules. La nature de particules dit que la lumière consiste en certains paquets d’énergie, ce qu’on appelle des quantums de lumière ou photons. L’énergie contenue dans ces photons se reflète dans leur longueur d’onde, la distance spatiale entre le creux de l’onde et le pic de l’onde. Une longueur d’onde courte correspond à une teneur en énergie élevée, une longueur d’onde élevée une teneur en énergie faible.

Si de la lumière rencontre de la matière, différents événements peuvent survenir :
  • Le photon traverse la matière sans entrave dans le même sens. (Transmission, exemple : la lumière rencontre du verre)
     
  • Le photon rencontre un atome et est rejeté avec la même énergie dans une autre direction. (Réflexion, exemple : la lumière rencontre un miroir)
     
  • Le photon est absorbé par la matière. L’énergie du photon est alors transmise à la matière et conduit à une augmentation de la teneur en énergie. Ceci peut se faire sous la forme d’un réchauffement et/ou d’une stimulation électrique de la matière.
On entend par luminescence l’émission de photons (lumière), qui sont générés lors du retour des électrons d’un état stimulé à un état basse énergie.
 
Les électrons peuvent ici être stimulés « de l’extérieur » de différentes manières, par exemple par
  • courant électrique (électroluminescence)
    p. ex. pour les LED : Transition de la bande de valence dans la bande de puissance
  • Décision avec des électrons (cathodoluminescence)
    p. ex. tubes de rayonnement cathodique
  • Lumière, donc bombardement par des photons (photoluminescence)
On distingue cependant ici entre fluorescence et phosphorescence.
On parle de fluorescence lorsque l’émission de photons par le matériau stimulé s’éteint immédiatement ou immédiatement quelques nanosecondes après la fin de la stimulation.
De phosphorescence par contre si l’émission de lumière continue au-delà de la plage de nanosecondes et peut se prolonger dans la zone des millisecondes, voire des secondes.
 
Alimentation en chaleur (thermoluminescence)

Qu’est-ce qu’un « effet Stokes » ?
Si le rayonnement électromagnétique (lumière d’ultraviolet à infrarouge) rencontre un objet, une partie de la lumière est absorbée. Une grande partie de la lumière qui est absorbée est à cette occasion convertie en chaleur (une surface noire absorbe par exemple davantage de lumière qu’une surface blanche et est pour cette raison également plus chaude lorsqu’elle est soumise à un rayonnement lumineux).

La lumière est ici essentiellement absorbée par des molécules. Les molécules sont incitées par cette énergie supplémentaire à accélérer leur mouvement, elles vibrent donc plus rapidement, ce que va de pair avec une hausse de la température.

Dans le cas de certains matériaux (comme par exemple dans le cas de ce qu’on appelle des terres rares), l’énergie de la lumière (des photons) est utilisée à déplacer les électrons qui se trouvent sur une orbite à moindre énergie, mais très stable (orbite d’électrons interne) autour du noyau atomique, vers une orbite d’énergie supérieure, mais moins stable (orbite d’électrons externe). 
 
 
Mais les électrons ne restent là que pendant un temps bref, jusqu’à ce qu’ils retournent, en faisant le détour par des orbites intermédiaires, à leur état de base stable. L’énergie qui se dégage à cette occasion est transmise sous la forme de rayonnement (photons = lumière) ou bien, dans le cas d’un cristal (comme il y en a dans le cas des terres rares) sous la forme de ce qu’on appelle des phonons (vibrations de réseaux), le cristal est ainsi incité vibrer davantage. Les photons générés à cette occasion (photons secondaires) possèdent une énergie plus faible que celle des photons utilisés pour la stimulation (photons primaires).

Les photons (photons primaires) qui possèdent une plus grande énergie (donc de la lumière ayant une longueur d’onde plus courte) sont donc utilisés pour faire « briller » un objet. Les photons émis par l’objet (photons secondaires) possèdent, par comparaison avec le photon primaire, une moindre énergie ; la longueur d’onde de la lumière émise est ainsi plus longue.
 
Si la longueur d’onde émise par un corps bombardé par un rayonnement est plus longue que la longueur d’onde utilisée pour le rayonnement, on obtient ce qu’on appelle « l’effet Stokes ». L’émission du rayonnement secondaire de fait avec retard, la longueur du retard temporel dépend ici de la durée de passage des électrons dans les orbites électroniques instables.
 

Qu’est-ce qu’un « effet anti-Stokes » ?
On parle « d’effet anti- Stokes » lorsqu’un rayonnement électromagnétique qui rencontre un objet et est absorbé par ce dernier a une longueur d’onde supérieure au rayonnement électromagnétique qui est émise par l’objet.


l = longueur d’onde d’un rayonnement électromagnétique (par exemple de la lumière), la longueur d’onde représente un train d’ondes, c’est-à-dire la distance locale de deux maxima ou minima voisins.

La longueur d’onde du rayonnement électromagnétique dans la zone visible se trouve environ entre 400 nm et 700 nm.
 
A l’inverse de l’effet Stokes, on a besoin de plusieurs photons du rayonnement primaire pour stimuler les électrons. Un photon amène l’électron par exemple sur l’orbite intermédiaire 1, un autre photon amène l’électron sur une autre orbite intermédiaire située à l’extérieur et un troisième photon amène finalement l’électron sur l’orbite extérieure.
 
Comme il s’agit, pour l’orbite intermédiaire, d’orbites instables, les électrons ne passent qu’un temps relativement court sur ces orbites avant de retourner à leur état de base. Ce qu’on appelle la recombinaison se trouve typiquement dans la zone des nano-, des micro- et des millisecondes.

Qu’est-ce qu’un « pompage optique » ?
Comme plusieurs photons sont nécessaires, dans le cas de « l’effet anti-Stokes » pour soulever un électron sur une orbite électronique externe, on parle de ce qu’on appelle un processus de pompage.

Pendant le « pompage », les électrons sont à chaque fois soulevés, à l’aide des photons primaires, d’une orbite intermédiaire vers la prochaine orbite intermédiaire, c’est-à-dire quasiment vers le haut sur une orbite électronique extérieure. Plus l’orbite électronique se trouve à l’extérieur, et plus l’électron qui s’y trouve possède d’énergie potentielle. Son niveau d'énergie est plus élevé. Plus la différence entre deux niveaux est grande, et plus l’énergie du photon qui est généré au retour de l’électron à son niveau stable est élevée.


Qu’est-ce que des « métaux de terres rares » ?
Les métaux des terres rares sont des éléments chimiques du 3ème groupe de la classification périodique ; les lanthanides (17 éléments) comptent également parmi les terres rares.

En autres (on a par exemple besoin de terres rares pour les aimants permanents), les métaux des terres rares disposent également de propriétés spectroscopiques spéciales. A l’inverse des semi-conducteurs (la bande interdite, c’est-à-dire la distance énergétique entre la bande de valence et la bande conductrice d’un semi-conducteur dépendant de la température, ainsi que la longueur d’onde émise par le cristal du semi-conducteur), les terres rares présentent dans le corps solide (cristal) un spectre énergétique discret (donc de niveaux d’énergie définis dans l’enveloppe électronique). C’est ainsi qu’on a besoin d’une longueur d’onde dépendant de la distance du niveau d’énergie pour l’absorption d’un rayonnement électromagnétique. La remise d’énergie optique (vers l‘extérieur) a lieu également sous la forme de longueurs d’ondes discrètes prescrites par le cristal.
 
Il faudrait citer, comme représentants importants des terres rares pour les propriétés optiques :
Y 39      Yttrium                
(utilisé entre autres pour les substances fluorescentes et les LED)
 
ainsi que les représentants suivants de ce qu’on appelle des lanthanides :
Pm 61 Promethium (utilisé pour les chiffres lumineux)
Eu 63 Europium (utilisé dans les LED et les substances fluorescentes)
Gd 64 Gadolinium (utilisé pour les substances fluorescentes vertes)
TB 65 Terbium (utilisé pour les substances fluorescentes)
Tm 69 Thulium (substances fluorescentes pour les téléviseurs)
Yb 70 Ytterbium (substances fluorescentes pour les téléviseurs)
             
En dotant de façon ciblée les cristaux de terres rares, il est possible d’influencer les propriétés optiques en conséquence et de les modifier de façon ciblée. C’est ainsi qu’on utilise par exemple l’erbium en tant que ce qu’on appelle un activateur. Cet activateur a ici quasiment l’effet d’un « catalyseur ».
 
On recourt souvent, pour les cristaux de terres rares, à un rayonnement électromagnétique dans la zone infrarouge (IR) pour établir des preuves. Les lignes d’absorption se trouvent ici souvent à 980 nm ou 940 nm, mais même des lignes d’absorption dans la zone visible (par exemple à 640 nm) ou dans la plage UV (par exemple 365 nm ou 385 nm) sont possibles.

Dans la pratique, « l’effet Stokes » et « l’effet anti-Stokes » se produisent souvent lors de l’émission de photons.


L’expérience montre qu’il y a quelques décades entre la puissance optique nécessaire à la stimulation du processus et la puissance optique effectivement émise par le cristal. La puissance optique dans la plage IR nécessaire à la stimulation se trouve à environ 10 mW (par exemple à 980 nm), l’émission se trouve alors dans la plage de longueur d’ondes visible à quelques µW (Anti-Stokes), dans la plage IR l’émission peut cependant arriver jusqu’à la plage mW (Stokes). Mais une partie du rayonnement primaire sert d’abord à stimuler le cristal, les photons sont donc utilisés pour générer des phonons, sachant que la vibration réticulaire (cristal) augmente. Dans l’étape suivant, des photons (lumière) peuvent être à leur tour générés par des phonons (vibrations réticulaires).
 


 
Qu’est-ce qu’un « convertisseur UP » ?
On entend par convertisseur UP au sens optique la conversion de lumière (de la plage UV à la plage IR) d’une longueur d’onde plus longue (c’est-à-dire avec des phonons de moindre énergie) jusqu’à une longueur d’onde plus courte (les photons possèdent alors davantage d’énergie). Ce gain d’énergie est réalisé par pompage optique, c’est-à-dire que pour émettre un photon secondaire, ce qu’on appelle un convertisseur UP doit absorber plusieurs photons primaires, à savoir suffisamment pour que la quantité d’énergie du photon secondaire soit atteinte (ou que l’électron ait été soulevé jusqu’à l’orbite électronique externe). On parle ici aussi de ce qu’on appelle l’effet anti-Stokes.

 
 
 


 
 
Qu’est-ce qu’un « convertisseur DOWN » ?
On parle, en optique, d’un « convertisseur DOWN » lorsque le photon secondaire généré par un photon primaire dispose de moins d’énergie. On a donc seulement besoin d’un photon primaire pour la génération d’un photon secondaire. La différence d’énergie est, par exemple, remise au réseau du cristal du convertisseur DOWN (en tant qu’augmentation du phonon de la vibration réticulaire).
Le processus dans le convertisseur DOWN peut être expliqué par l’effet Stokes.
 


 




Qu’est-ce qu’un « temps de recharge » resp. une « constante de temps » ?
On entend par temps de recharge ou temps de relaxation en optique le temps qui est nécessaire pour qu’un objet puisse retourner de son été stimulé à son état de base. Ce qu’on appelle la constante de temps t représente une mesure du temps nécessaire à cela. La constante de temps décrit ici le temps que prend un processus, partant de l’état stimulé, jusqu’à ce qu’il parvienne environ au facteur ½,71 ou à 1/e (e étant ce qu’on appelle le chiffre d’Euler). La mesure de constante de temps est habituellement utilisée pour des processus qui se rechargent de façon exponentielle. Il s’est maintenant avéré dans la pratique qu’à la fois l’effet Stokes et l’effet anti-Stokes se rechargent de façon exponentielle dans une première approche.
 

Qu'entend-on par « pigments de sécurité » ?
Les pigments de sécurité sont des pigments anorganiques luminescents (phosphorescents, donc photoluminescents), souvent des cristaux de terres rares mais aussi des sulfures de zinc qui disposent de propriétés optiques tout-à-fait spécifiques en étant dotés en conséquence. Cette « empreinte digitale optique » peut être utilisée en tant que caractéristique de sécurité.
 
Qu'entend-on par « taille de grain » ?
On entend par taille de grain en relation avec les cristaux de terres rares la taille existante du cristal après le processus de traitement (par exemple broyage ou procédé de condensation). Celle-ci se situe habituellement entre 300 nm et 20 µm de diamètre. Il faut également tenir compte du fait que l’efficacité (le rendement) pâtit en ce qui concerne les effets Stokes et anti-Stokes au fur et à mesure que la taille diminue. On utilise habituellement des tailles de grains comprises entre 5 µm et 10 µm. La fabrication de tailles de grains inférieure à 1 µm s’avère en outre très compliquée et par conséquent très onéreuse. Du fait de l’extrême petitesse de la taille de leurs grains (parfois inférieure à un micromètre), les cristaux de terres rares préparés de cette manière sont également désignés par le terme de LNP, c’est-à-dire de nanoparticules luminescentes.

 
Qu'entend-on par « authentification de produit » ?
(Preuve de segments de sécurité)
Outre les domaines d’utilisation classiques des cristaux de terres rares dans les aimants permanents, les appareils à rayons , les écrans de télévision, mais aussi les écrans LED, plasma et LCD ainsi que les tubes fluorescents, toute une série de ces lanthanides ainsi que l’yttrium sont également utilisés pour l’authentification des produits. Les cristaux de terres rares sont ici dotés en conséquence selon les besoins (par exemple avec un activateur à l’erbium), grâce à quoi les propriétés optiques changent en conséquence. La réponse optique devient ainsi spécifique au produit et représente d’une certaine manière une « empreinte digitale optique » qui est difficile à reproduire si on ne possède pas la recette pour ce faire.
 
En dotant les cristaux de terres rares, il est possible d’influencer à la fois la longueur de l’onde de stimulation, le spectre d’émission et la constante de temps, donc la réponse retardée à une course primaire (impulsion de stimulation optique).
 
Une des propriétés importantes des cristaux de terres rares est qu’ils résistent de façon typique à ces températures jusqu’à 800°C. Ces cristaux ne sont en outre pas toxiques, ce qui permet
de réaliser toute une série de domaines d’utilisation. Ces pigments anorganiques sont en outre extrêmement, stables à la lumière, c’est-à-dire que les propriétés de luminescence demeurent conservées même sur une période prolongée.
 
On dispose désormais d’une série d’appareils de justification, qui permettent une justification des cristaux de terres rares à la fois INLINE (série LUMI-INLINE), OFFLINE sur place (série LUMI-MOBILE) est en laboratoire (série LUMI-LAB). La concentration des 
cristaux de terres rares par rapport à la substance porteuse (hôte) peut ici baisser jusque dans le domaine ppm (en fonction du type des cristaux de terres rares).
 
Comment peut-on prouver la présence de cristaux de terres rares ?
Comme les cristaux de terres rares fonctionnent à la fois comme convertisseur UP et comme convertisseur DOWN, le spectre secondaire peut servir de preuve. Mais on peut aussi en outre utiliser la relaxation temporelle du rayonnement secondaire comme preuve. Les deux effets (spectre secondaire et comportement de recharge) fournissent au total une preuve sûre, même avec une concentration très basse.

De quels appareils dispose-t-on comme preuve ?
Il faut citer comme appareil de preuve le plus simple et certainement le plus économique ce qu’on appelle un stylo laser (type LUMI-LP-IRL/UV/VIS-3B). Ce dernier dispose d’un rayonnement laser de la longueur d’onde 980 nm et d’une puissance de quelques 10 mW. Le rayonnement laser est ici focalisé à une distance de 10 mm à 20 mm de la sortie du stylo. La lumière IR est ici convertie dans la plage visible (convertisseur UP) en présence d’un cristal de terres rares (et à la condition préalable que ce dernier absorbe le rayonnement de 980 nm), et fournit, conformément à sa dotation, de la lumière bleue, verte, jaune, orange ou rouge.

Il faut cependant savoir qu’on utilise à cet effet un rayonnement primaire qui se situe dans la plage de classe laser 3B. Le stylo laser est un produit de classe laser 3B.
 
Un produit de classe laser 3B ne doit cependant pas être utilisé en combinaison avec des lunettes de protection laser adaptées (par exemple type LUMI-SG-IRL-3B). Son utilisation est en outre seulement autorisée dans des espaces qui sont sécurisés de l’extérieur par une remarque d’avertissement et une lumière d‘avertissement. Le stylo laser permet de prouver la présence de concentrations des cristaux de terres rares jusqu’à env. 50 ppm (en fonction de chaque cristal respectif).
 
La preuve de la présence de terres rares se présente en revanche avec les appareils LUMI-MOBILE. Ces derniers utilisent des LED IR ayant une longueur d’onde (longueur d’onde moyenne) d'env. 940 nm. Ces appareils sont complètement inoffensifs pour les yeux humains. (Des LED identiques sont également utilisées dans les télécommandes de téléviseur ou de chaînes audio). Dans le cas des appareils LUMI-MOBILE, la constante de temps de la courbe de recharge des cristaux de terres rares sont utilisés en tant que critère. Il est possible ici de prouver la présence de concentrations allant jusque dans la plage de 1 ppm.
 
Pendant la production du matériau pourvu de cristaux de terres rares, la concentration des cristaux de terres rares doit être contrôlée. C’est ce à quoi sert la série LUMI-INLINE, qui détermine l’intensité (et donc la concentration) des cristaux de terres rares dans le matériau porteur en sus de la constante de temps. On dispose ici à la fois de signaux analogiques et de signaux numériques. En outre, l’appareil de détection peut être également raccordé à un port série (RS232, USB ou bien Ethernet). Un logiciel de surveillance spéciale permet l’enregistrement des données de mesure.
 
Pour la preuve en laboratoire, on a le choix entre des appareils qui enregistrent à la fois le comportement de recharge (dans la zone IR) et le spectre d’émission dans la plage visible (LUMI-LAB-IRL/VISIR-CL1) ainsi que les appareils qui reproduisent le comportement de recharge dans la plage IR ainsi que l’intensité subdivisée dans les segments de longueurs d’ondes entre 700 nm et 1100 nm (LUMI-LAB-IRL/IR-CL1, breveté).

Les deux appareils de preuve se situent dans la plage de classe laser 1, ce à quoi l’on parvient à l’aide d’un comportement spécialement breveté.

Appareils de preuve pour utilisation mobile
Dans le cas des appareils LUMI-MOBILE, la recharge dans le temps est évaluée sur un échantillon stimulé par des moyens optiques. On dirige à cet effet une impulsion IR ou bien une impulsion UV sur l’objet à contrôler. A la fin de l’impulsion de stimulation, la courbe de recharge est enregistrée et évaluée. L’intensité de départ de l’impulsion de recharge est en outre déterminée.
 

LUMI-MOBILE-LAB-IR/IR
LUMI-MOBILE-LAB-UV/VIS
 
 

Paramétrage de la constante de temps et de l’intensité de jusqu’à 31 produits, ces derniers sont sauvegardés dans un fichier dans le PC et servent aux appareils LUMI-MOBILE-QC (Quick Check) en tant que paramètres de consigne ainsi qu’aux appareils LUMI-MOBILE-PT (testeur de poche) pour la consigne d’un produit.
 

 
Interface utilisateur Windows® LUMI-MOBILE-LAB-Scope :


 
LUMI-MOBILE-QC-IR/IR
LUMI-MOBILE-QC-UV/VIS


Il est possible, avec cet appareil, de sauvegarder jusqu’à 31 produits en mémoire, qui peuvent être lus par l’intermédiaire d’un fichier (les produits ont été précédemment déterminés au moyen de l’appareil LUMI-MOBILE-LAB avant d’être sauvegardés dans un fichier).

Dès qu’un produit a été reconnu, il y a une réponse acoustique et une représentation optique à l’écran. Ici aussi, le comportement de recharge des terres rares est contrôlé.


Interface utilisateur Windows® logiciel LUMI-MOBILE-QC-Scope :

 
LUMI-MOBILE-PT-IR/IR
LUMI-MOBILE-PT-UV/VIS


A la différence de l’appareil LUMI-MOBILE-QC, on dispose ici d’un jeu de paramètres.
 
Interface utilisateur Windows® logiciel LUMI-MOBILE-PT-Scope :

 
LUMI-MOBILE-DA-IR/IR
LUMI-MOBILE-DA-UV/VIS


Au contraire des appareils LUMI-MOBILE-QC et LUMI-MOBILE-PT, on ne recherche pas des produits préalablement déterminés par l’appareil LUMI-MOBILE-LAB. On recherche plutôt une constante de temps ainsi que la concentration d’un cristal de terres rares, et ce sur l’ensemble de la plage dynamique, c’est-à-dire d’une très basse concentration dans la plage ppm jusqu’à une concentration très élevée.

Logiciel correspondant :
Logiciel Windows® LUMI-MOBILE-DA-Scope
 
LUMI-MOBILE-JR-IR/IR
LUMI-MOBILE-J
R-UV/VIS



L’affichage se fait ici via une LED bicolore. Le vert montre qu’un cristal de terres rares a été détecté, rouge au contraire que rien n’a été trouvé. Le signal optique est ici soutenu par un signal acoustique.
 
Ici aussi, la recherche balaye l’ensemble de la plage dynamique de façon semblable à l’appareil LUMI-MOBILE-DA. On détecte ainsi tant les concentrations très faibles (dans la zone ppm) que les concentrations très élevées.

Logiciel correspondant :
Logiciel Windows® LUMI-MOBILE-JR-Scope

 
LUMI-MOBILE-FIO-LAB-IR/IR
LUMI-MOBILE-FIO-LAB-UV/VIS


L’appareil à câble à fibres optiques LUMI-MOBILE-FIO-LAB représente une variante de l’appareil LUMI-MOBILE-LAB, qui est comparable pour l’essentiel à la version de l’appareil standard. Seul le système optique a été ici modifié de façon à répondre aux exigences du raccordement de cadre à fibres optiques.


LUMI-MOBILE-FIO-QC-IR/IR
LUMI-MOBILE-FIO-QC-UV/VIS


La version de câble à fibres optiques LUMI-MOBILE-FIO-QC dispose du même logiciel que le LUMI-MOBILE-QC, le matériel informatique est par ailleurs équipé d’un raccordement de câble à fibres optiques.
 

LUMI-MOBILE-FIO-PT-IR/IR
LUMI-MOBILE-FIO-PT-UV/VIS


Dans le cas de la version LUMI-MOBILE-PT aussi, il y a une version avec câbles à fibres optiques LUMI-MOBILE-FIO-PT.

Le logiciel est identique à celui de la version standard LUMI-MOBILE-PT.


LUMI-MOBILE-FIO-DA-IR/IR
LUMI-MOBILE-FIO-DA-UV/VIS



La version LUMI-MOBILE-DA dispose également d’une variante à câbles à fibres optiques LUMI-MOBILE-FIO-DA.

Ici aussi, le logiciel est identique à celui de la version standard.
 
 
LUMI-MOBILE-FIO-JR-IR/IR
LUMI-MOBILE-FIO-JR-UV/VIS


Dans le cas de la version LUMI-MOBILE-JR, on dispose également d’une variante à câbles à fibres optiques LUMI-MOBILE-FIO-JR.

Il vaut ici aussi : La version à câbles à fibres optiques est équipée du même logiciel que la version standard LUMI-MOBILE-JR.
 

Appareil de preuve INLINE dans les installations de production

LUMI-INLINE-IR/IR
LUMI-INLINE-UV/VIS

La version LUMI-INLINE dispose de deux sorties analogiques qui donnent des informations sur la concentration du cristal de terres rares. En outre de 4 sorties numériques à l’aide desquelles on peut sauvegarder jusqu’à 15 produits en mémoire.


LUMI-INLINE-FIO-IR/IR
LUMI-INLINE-FIO-UV/VIS
 

Dans le cas de la version LUMI-INLINE, on dispose également d’une variante à câbles à fibres optiques LUMI-INLINE-FIO. On dispose ici de trois sources lumineuses : Deux versions dans la plage IR,
dont un type LED-IR, un type LD-IR et une version UV

Logiciel correspondant :
Logiciel Windows® LUMI-INLINE-Scop

Appareils de preuve pour le laboratoire
Ces appareils de laboratoire LUMI-LAB permettent une représentation du spectre secondaire dans la plage visible. Il y a en outre, dans le cas du LUMI-LAB-IRL/VISIR, un enregistrement des temps de recharge dans la plage IR, et dans le cas du LUMI-LAB-UV/VIS une représentation des courbes de recharge dans la plage du spectre visible.


LUMI-LAB-IRL/VISIR-CL1
LUMI-LAB-UV/VIS-CL1

Logiciel correspondant :
Logiciel Windows® LUMI-LAB-Scope
 

LUMI-LAB-8-IRL/IR-CL1
LUMI-LAB-8-IR/IR

Dans cette version, on examine à la fois le spectre secondaire et le comportement de recharge temporelle dans la plage IR. On subdivise la plage IR en 8 plages partielles. Tant la constante de temps que l’intensité du rayonnement secondaire sont déterminés ici par plage partielle (procédé ayant fait l’objet d’un dépôt de brevet).


Logiciel correspondant :
Logiciel Windows® LUMI-LAB-Scope

On mesure ici la plage de longueur d'ondes située entre 700 nm et 1100 nm à l'aide de 8 détecteurs. Chaque détecteur contrôle ici une fenêtre de mesure de 50 nm. On détermine l’intensité de départ C1 ainsi que la constante de temps t de chaque impulsion de recharge.






LUMI-LAB-16-IRL/VISIR-CL1
LUMI-LAB-16-IR/VISIR
LUMI-LAB-16-UV/VISIR


Dans le cas de ces types LUMI-LAB, on évalue le spectre visible à côté du spectre IR. On dispose en tout entre autres de 14 détecteurs à l’aide desquels il est possible de couvrir une plage de longueurs d’ondes comprise entre 400 nm et env. 1100 nm.
 
Logiciel correspondant :
Logiciel Windows® LUMI-LAB-Scope
On évalue ici à la fois l’intensité et la constante de temps dans chaque plage de longueurs d’ondes.

 


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